Dominicus était très triste pour son comté qui semblait retomber dans ses pires travers. Il décida d'en parler à ses frères et sœurs de l'Église.
Monseigneur, mes frères et soeurs,
Si vous êtes amenés à circuler dans notre bonne ville de Montpellier et dans sa gargote, vous avez du constater comme moi que nos politiciens retombent dans leurs pires travers. Je vous siterai quelques événements qui m'ont tout particulièrement frappé du fait qu'il nous rappel un passé pas si lointain et que naïvement sans doute j'espérai révolu.
La tête de liste de la liste en tête des élection n'est pas comte, c'est bien sur légal, mais c'est un signe de difficulté. La comtesse élu, dame Enduril, n'était tête d'aucune liste, autre signe de difficultés à venir...
Messire Klan, celui qui a eu le plus de voix, vient se plaindre en salle de doléance (gargote) de ne plus avoir complet accès au conseil.
Les démissions se multiplient.
Messire Divinius, tête d'une des autres listes est en procès pour "haute trahison" suite a une action... de sa femme.
Et, comme trop souvent, ni la comtesse, ni son porte parole ne vienne communiquer vers nous autres languedocien.
Il y a peut être de bonnes raisons à tout cela, mais ce qui me parait certain c'est que l'Amitié n'est pas la première des vertu de nos conseillers.
Face à cette situation je vous pose la question : nous autres, représentants de l'Église doit-on être silencieux, comme si nous nous désintéressions de la situation de nos fidèles ? Ne pas faire de politique, certes, j'y adhère mais nous limiter à faire des cérémonies me gène.
Quel est votre avis monseigneur, mes frères et sœurs ?